Gilbert Cranmer, 1858

La doctrine de la "porte fermée" fit partie de la doctrine de l’Eglise ; Madame White a vu dans une vision que le jour du salut des pécheurs était passé. Ceux qui croyaient pleinement en ses visions, comme venant de Dieu, acceptèrent également cette doctrine. Je n’ai pas cru la doctrine ni ne l’ai enseignée. Depuis ce temps, aucune issue n’est apparue dans l’église, et l’acceptation des visions est devenue un test [d’entrée dans l’église]. Mais ils sont vite devenus populaires, et certains ont commencé à presser les [membres] assez énergiquement ; mais ces questions ont perduré sans trop d’agitations, du moins aussi longtemps que j'ai été concerné... avant que j’aille prêcher à Otsego.

Parmi d’autres choses, j’ai déclaré n’avoir aucune preuve que la Porte du Lieu Saint ait été fermée. Ceci ne suscita pas l’approbation de certains qui étaient présents. Un des frères appela mon attention sur les visions. Il dit : "C’est peut être pour vous une évidence, mais cela ne l’est pas pour moi". Une discussion générale s’en suivit, et la réunion dégénéra.

Cela fut rapporté aux responsables de l’Eglise, à Battle Creek. J’ai alors demandé qu’une réunion soit convoquée pour enquêter, ce qui fut fait, et un effort fut déployé pour m’amener à me soumettre aux visions. J’ai vu qu’il n’y avait aucun moyen de réconciliation, et donc conclu de ne pas aller plus loin avec eux, et je le leur ai fait ainsi savoir.

Gilbert Cranmer cité dans “The Story of the Church of God (Seventh Day)” par Robert Coulter, (1983, Bible Advocate Press : Denver, Co.), pp.12-13.

Category: La Porte Fermée
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